Anecdote rollotouristique n°2

Le 9 avril 2010, c’est mon deuxième projet en roller avec skatedrive: la traversée de la Camargue, en partant de Montpellier vers Arles.

Au Grau-du-Roi que je traverse tranquillement, une dame d’un certain âge m’interpelle dans la rue pour me demander si c’est moi qui suis chargé de distribuer le journal municipal. Elle m’a pris pour un livreur avec mon chariot!

Ça m’a fait sourire 🙂

2 réflexions sur « Anecdote rollotouristique n°2 »

  1. pfiouu
    moi je rêve de faire la Camargue a cheval étant passionnée d’équitation , c’est tellement jolis là bas.
    mon niveau de roller est proche de zéro
    je sais tenir dessus, mais pas m’arrêter ^^
    un jour j’aimerai re essayer
    ya quelques années je voulais aller aux randos roller et coquillage et bien sur le but ultime faire la rando du vendredi sur Paris
    mais quand j’ai compris que j’arriverai pas a m’arrêter j’ai déchanter et vendu mes rollers.

    1. La Camargue est vraiment magnifique, à cheval on doit pouvoir en profiter encore plus, vu de plus haut. C’est très, très plat et le regard porte loin!

      Pour le roller, c’était pareil au début: gros point noir sur le freinage. C’est le truc essentielle pour commencer à vraiment se faire plaisir. Perso, je n’arrive plus à m’arrêter… d’en faire maintenant 🙂
      Si tu veux retenter le coup, rapproche-toi d’un club qui pourra t’apprendre les bases (voire plus). A Paris, il y a le PUC Roller, dont je fait parti, mais aussi RSI, le PHC, Arollo… ça ne manque pas !

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