Les pieds sur Terre !
Le cœur avec les Hommes !
La tête dans les étoiles !
Mass Hysteria – Le Bien Etre et la Paix
Les pieds sur Terre !
Le cœur avec les Hommes !
La tête dans les étoiles !
Mass Hysteria – Le Bien Etre et la Paix
MaelStröM – Let’s dance to … forget sur Jamendo
J’écoute des artistes Jamendo un peu au hasard de ce qui m’inspire dans le flux RSS des nouveautés…
Et c’est rare qu’il y en ai un qui me scotche comme MaelStröM : j’ai arrêté ce que j’étais en train de faire pour mieux écouter. Au bout de 3~4 morceaux, me voilà sur Jamendo pour une critique.
Le son est original, c’est le point essentiel. On y trouve pèle-mèle metal, punk, indus, (dark-)electro, new-wave…
Je suis plutôt metal, et de ce côté la guitare se rapproche de Mass Hysteria (avec une pointe de Rammstein). D’ailleurs, on dirai un echo à « Respect to the Dancefloor » :
Pêle-mêle, Techno, Indus, Hip-hop, HxC, Punk, New-wave
Tu respectesSans appel est le verdict :
Une même note pour plusieurs musiques
La voix m’a paru un peu « faible » au début, mais elle donne un côté « punk » trashy.
Au final, on dirai un groupe formé par tirage au sort qui aurai apporter chacun leur pierre musicale à l’ensemble
Je pense que ça ne plaira pas à tous, mais moi j’aime !
Ecouter l’album en entier sans zapper un morceau dès son intro, ou vous risquer de passer à côté d’un bon album.
J’espère que d’autre vont suivre.
Après un week-end sportifs avec une certaine solidarité entre personnes qui on choisit d’en baver, un week-end festif et solidaire avec ceux qui font face à la maladie (eux, ne l’ont pas choisi) : le festival Solidays – Solidarité SIDA qui a eu lieu du 6 au 8 juillet sur l’hippodrome de Longchamps.
J’en ai pris pleins les oreilles pendant 3 jours ! Avec en bonus la (re)découverte de groupes vraiment excellent !
Dans l’ordre des concerts:
Ensuite, je suis rentré laissant derrière moi Yannick Noah et Trust, vidé de mon énergie et l’appareil photo plein.
En parlant de photos, il y en a plus à voir dans mon web-album spécial Solidays 2007.
Conclusion, aujourd’hui lundi, je suis aussi fourbu qu’après les 24h du Mans roller (voire plus), mais heureux.
Demain, je pars à Amiens continuer sur ma lancée aux RMLL pour mon troisième plaisirs avec le roller et la musique: les logiciels libres. Là encore, le mot Solidarité aura un signification bien concrète.
PS: Je rajouterai des photos un peu plus tard, il faut que je fasse le tri parmi les 1348 clichés que j’ai pris. Vive les appareils numériques!
Hier soir, le trio de John Butler a mis le feu au Grand Rex !
Pour ma première salle parisienne, quel concert ! Malgré les sièges de la salle, le public est resté debout tout le concert !!!
On a eu droit à un très beau set avec comme points culminants une version longue de Ocean le fabuleux solo de John Butler et, pendant le rappel, Peach & Cream avec l’ensemble du trio plus un ami (très bon) guitariste Jeff « Beckoss » (??? je n’ai pas bien saisi son nom, si quelqu’un le connais faites le moi savoir !).
La version d’Ocean que nous a joué hier John a commencé par un thème mi rythmique mi-mélodique avec pour seul instrument sa guitare dont il se servait comme percussion!
Le concert fut long (plus de 2h), mais les qualités musicale des trois membres nous ont envoyé hors du temps. Ils ont tous les trois très très bon ce qui forme vraiment un groupe cohérent et on sent l’énorme plaisirs qu’ils prennent à jouer. Plaisirs qui est partagé 😉
Ce qui m’a surpris aussi, c’est le nombre de guitares utilisée par John Butler pendant le concert: classique, électro-acoustique, folk, banjo … je saurais pas toutes les citer.
Bref ce fut un concert fabuleux avec pour seul minuscule « point gris » la chute d’une partie de la batterie pendant un solo de Mickael Barker. Pas bien grave, il était mort de rire et un technicien est venu redressé les éléments pendant qu’il terminait son solo.
Je vous conseille franchement d’aller les voir en concert ! ou d’écouter leurs CD en particuliers Sunrise over Sea. Je n’ai pas encore acheté leur dernier album Grand National, mais ça ne va pas tarder: de ce j’ai entendu hier, il n’y a rien à jeter.